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Ordures du Monde Universitaire

1 octobre 2011

Ordures du Monde Universitaire, de la Sorbonne !

Le cancan des cancres de la Sorbonne

 

ou

 

          Lettre ouverte à Monsieur René Pommier

 

http://www.enquete-debat.fr/archives/arretez-de-subventionner-la-mafia-universitaire

 

 

 

«Livry est un youtre qui veut faire des recherches sur Claudel !»

Dominique Millet-Gérard, professeur à Paris IV – Sorbonne

 

 

 

 

 

 

 

         Je suis Saint Pierre, le saint de Pierre Brunel, ex-vice président de la Sorbonne, et je vous annonce que, au Ciel, on a lu votre ouvrage où vous démontrez que le président Georges Molinié ne serait lettré que par son titre  http://rene.pommier.free.fr/Sanglades.html

Mais ne jugez pas trop sévèrement notre Georges, soyez charitable ! Je vais vous expliquer pourquoi le pauvre n’a pas le temps de réfléchir à ce qu’il écrit, ni de relire ses textes. Je vous démontrerai cela en ayant recours à une « affaire » qui ébranle actuellement le monde philologique universitaire français et européen, mais que l'on dissimule, avec obstination, à Paris IV-Sorbonne, l'Affaire Livry :

http://www.les4verites.com/Anatoly-Livry-victime-de-harcelement-en-Sorbonne-2364.html

 

Comme tous les bons Sorbonagrues – car moi, Saint Pierre, ai aussi étudié à la Sorbonne –, je vous l’exposerai en trois parties.

 

          La première reprendra un fait fort connu, source inépuisable du ridicule de l'Université française. En 2001, une slaviste psychopathe, communément reconnue comme telle, Nora Buhks, propose un poste d’enseignant non titulaire dans la slavistique de Paris IV à un ancien mannequin, ceinture noire de karaté http://www.ffkama.fr/clubs/dan_fiche.php?NUM_IDENT=9027204 , Anatoly Livry, et cela en échange de quelques services habituels dans la slavistique de cette noble université, services que celui-ci refusa cependant. Malgré la promotion administrative supra-poussée, Livry, à l'âge de 28 ans, avait donc enseigné à la Sorbonne, avec succès et sans avoir auparavant eu une quelconque expérience pédagogique, à des étudiants de licence, promotion qui a été portée par Buhks sur l'ardoise que Livry, avec détermination, refusait d’honorer. Il s'avère en revanche, pour le malheur (!) de l'Université française, que Livry a manifesté quelque capacité dans le domaine de la recherche scientifique, car il fut publié, et à maintes reprises, dans des revues de la même Sorbonne, comme par exemple « Guillaume Budé » http://www.bude.asso.fr/pages/bulletin%202008%202.html , ou encore par l’éditeur berlinois de Nietzsche, « Walter de Gruyter » http://www.reference-global.com/doi/abs/10.1515/9783110216905.2.135 , ou dans la « Slavica Occitania » toulousaine http://w3.slavica-occitania.univ-tlse2.fr/resume.php?arti=239 ou, il y a peu de temps, par « Hermann », qui, bien que se trouvant face à la Sorbonne, accepta d’éditer la monographie livryenne NABOKOV LE NIETZSCHEEN tellement calomniée par Buhks

http://www.fabula.org/actualites/article40024.php

 

Reconnu par des professeurs philosophes de la Humboldt-Universität, Livry est le plus jeune participant du Nietzsche Kolloquium de Sils-Maria en 2005.

 

Et comble de l’horreur pour la Présidence de la Sorbonne : en tant qu’écrivain de langue russe, Anatoly Livry vient d’obtenir, en novembre 2010, le Prix Marc Aldanov, décerné par des professeurs slavistes américains à New-York

 

http://exlibris.ng.ru/non-fiction/2011-06-02/6_game.html

 

Ce prix est une espèce de « Nobel » pour les écrivains russes en exil. On ne l’attribue que pour l’ensemble de l’œuvre, donc les lauréats sont normalement des septuagénaires et octogénaires. Or, Anatoly Livry, la victime du harcèlement du professeur de Paris IV-Sorbonne Nora Buhks, est le plus jeune lauréat de ce prix qui est le plus ancien pour la littérature russe contemporaine !

Je vous ai dit « le comble de l'horreur » ! Pourquoi ? Mais parce que Buhks, repoussée dans ses ardeurs inassouvies, s'est mise à googoliser quotidiennement, en cyrillique et en français, et cela depuis 2003, Livry pour le « casser » en tant qu'écrivain et en tant que chercheur.

 

Jugez par vous-même, mon cher Monsieur Pommier. En voici seulement quelques exemples : Buhks s’est adressée au fils de Vladimir Nabokov, autrement dit à l’unique héritier de l’écrivain, le chef de la toute puissante « Nabokov's Estate » implantée à Hollywood afin d’y percevoir des droits sur les romans portés à l'écran, pour annoncer que Monsieur Livry, juif et petit-fils de victimes de l'Holocauste, serait "fasciste" !!!!!

 

 

Et Buhks l'a fait, dans le monde entier et en trois langues, en usurpant le titre de son supérieur hiérarchique, chef de la slavistique à Paris IV-Sorbonne, professeur Jean Breuillard qui sait tout cela mais ferme son museau par couardise :

«Please read these urgent appeals from Nora (Head of the Department of Slavic Studies at the Sorbonne) » http://listserv.ucsb.edu/lsv-cgi-bin/wa?A2=ind0403&L=NABOKV-L&P=R28368&I=-3

 

 

Souvenons-nous par ailleurs que c’est grâce à la Sorbonne que Buhks a attiré le « vieux schnoque » Dmitri Nabokov : elle a organisé un colloque sur son père et y avait convié Dmitri lui annonçant… qu’elle était la chef de toute la slavistique de la Sorbonne ! Hormis l’usurpation du titre, les colloques de la Sorbonne sont donc la monnaie de la calomnie internationale de Buhks !!! « Je t’invite à la Sorbonne et toi, en échange, tu casses, usant du nom de Nabokov, celui qui a repoussé mon harcèlement sexuel déployé à la Sorbonne même ». Telles sont les transactions pratiquées par la slavistique de Paris IV qu’il faut maintenant que couvre Georges Molinié !

 

Par ailleurs, une des créatures de Buhks – qui avait réussi, suite au départ de Livry, à attirer le désir de notre vielle professeuse – a reçu le titre de maître de langue (que de postes à la Sorbonne !) et notre Buhks a utilisé son nom pour calomnier Livry aux quatre coins du monde, par exemple à Boston http://www.lebed.com/2006/art4513.htm , à Amsterdam http://analitika.nl/komentarii_redakcii.htm etc.

Cette frénésie calomniatrice déclenchée à la fin de l'année 2003 perdure jusqu'à aujourd'hui. Où que Livry intervienne à la radio ou dans un journal, où qu'il publie un ouvrage, notre psychopathe acharnée décroche son téléphone ou écrit à la rédaction utilisant la "Sorbonne" en guise d'arme d'assaut.

 

Mais tout cela, cher Monsieur Pommier, il fallait le couvrir ! On doit chaperonner tout acte de sa folie furieuse ! Car jamais Buhks n’a été inquiétée par la Présidence de Paris IV, pourtant parfaitement au courant de ses actes. La Présidence de Paris IV couvre donc l’utilisation des six millions de Juifs victimes de l’Holocauste à des fins privées de la part d’une personne – professeuse à Paris IV ! – méritant l’internement.

 

Maintenant, quelle est la « spécialité scientifique » de Buhks ? Cette Soviétique munie d’un passeport d’un pays de tiers-monde est venue en France « promue » par le professeur slaviste Jean Bonamour, « un petit schnoque » selon la dame elle-même, qu'elle a jeté, comme les règles du métier l’obligent, immédiatement après avoir obtenu passeport français et poste fixe à la Sorbonne.

Plusieurs années de prostitution universitaire ont porté leurs fruits à Paris IV-Sorbonne ! En revanche, incapable de rédiger une seule monographie, Buhks, ne possédant même pas de thèse de doctorat (contrairement à ce qui a été annoncé sur le site Internet de Paris IV-Sorbonne), s’est trouvée une activité digne d’une fille de joie correctement entretenue : Buhks « analyse » la presse et l’Internet. Elle en est même la spécialiste ! Pour ces activités délirantes, elle conviait, aux frais de la Sorbonne bien sûr (visa, billet, hôtel payés !), des journalistes russes et français à des colloques de Paris IV.

Buhks avait donc besoin du nom d'un grand professeur français à utiliser sans qu'il le sache. Ce fut celui de l'ancien président de la Paris IV-Sorbonne, actuel membre de l’Institut, Jean-Robert Pitte. Ainsi, dès que maintenant quelqu’un googolise sur le Web russe Jean-Robert Pitte, il tombe sur le museau et la perruque du professeur Nora Buhks présentée, par un journaliste payé aux frais de Paris IV – Sorbonne, en tant que la « collègue de Jean-Robert Pitte qui organise des colloques internationaux avec lui », comme vous pouvez le constater, cher Monsieur Pommier car Buhks a insisté que le nom de Jean-Robert Pitte soit marqué également en lettres latines, au-delà des cyrilliques

 

 

http://www.kreml.org/opinions_face/114058958?user_session=189bc5ad0f22ca6418d2580184020f56

 

Cette « spécialiste » de Paris IV est arrivée à son but ! Buhks est désormais googolisable avec les grands ! Une victoire ! Une vraie réussite pour cette psychopathe saisie par la bougeotte informatique qui guide ses actes depuis des décennies pour des raisons psychosomatiques : Buhks est une nymphomane frigide. Incapable d’« approfondir » jusqu’à l’aboutissement de ses désirs essentiels, Buhks passe depuis la défloration, d’une tentative désespérée de la jouissance à une autre. Il lui faut l’ersatz d’un résultat. Mais immédiatement !

 

Cette attitude est transposée à ses activités scientifiques à la Sorbonne laquelle devient une échappatoire éternelle de ses pulsions sexuelles non-assouvies. C’est donc à cause de sa frigidité d’une nymphomane que le Professeur à la Sorbonne Nora Buhks ne lit pas de livres ! Incapable de se concentrer sur la lecture dès que celle-ci dépasse la taille d’un article journalistique ! Or Buhks écoute les participants à des colloques et réagit par « apparition » sur Internet, se précipitant sur-le-champ vers la publication virtuelle suivante. S’arrêter pour Buhks signifie d’admettre : je suis frigide jusqu’à la mort ! Plus de tentatives ! Plus d’espoir !

Tout cela, la Présidence et notre Georges Molinié en personne, sont obligés de couvrir ! Quel labeur titanesque !

 

La deuxième occupation du professeur à la Sorbonne Buhks, c’est la manipulation de « vieux schnoques », son expérience conjugale avec le professeur à Paris IV Bonamour (jeté après l’obtention de la place de maître de conférences, « car impuissant », avait annoncé Buhks nouvellement promue pour le bien d’étudiants français en slavistique) l’aidant dans cette entreprise. Ainsi, Buhks monte à la Présidence pour exciter soit Barthélémy Jobert, soit mon préféré, mon petit Pierrot Brunel. Et Buhks fait cela chaque fois qu'elle se fait prendre en flagrant délit de calomnie : « Sorbonne en danger ! », s'écrit notre Soviétique sachant comment chez les Soviétiques on est prêt à défendre les siens, quelle est la force du cerveau reptilien chez eux et comment la paranoïa et l’arrogance sont puissantes chez les « vieux schnoques » dont Buhks connait si bien les points faibles.

 

 

         Nous voilà à la deuxième partie de notre exposé céleste cher Monsieur Pommier.

Quittant Buhks, Livry a été invité par Dominique Millet-Gérard, une claudélienne de Paris IV, ancienne élève de mon petit Pierrot Brunel. C’est une fille gentille mais… la pauvre est retardée dans l’adolescence et a besoin de son mari à la Sorbonne pour lui assurer ses arrières. Et elle est agrégée ! Elle a donc bien appris son latin, dont elle fait la preuve hebdomadairement lors d’une messe intégriste… bien sûr, pas à Saint-Nicolas du Chardonnet – quelle question ! – car apparaissant parmi les disciples de Monseigneur Lefebvre – et au Ve arrondissement du surcroît ! – cette carriériste serait mal vue par ses supérieurs ! On pourrait la dénoncer – et Millet sait, grâce à sa propre expérience professionnelle professorale, comment on dénonce à Paris IV ! Or, c’est une fille du quartier, elle reste donc dans le XVIe où tous les dimanches elle s’exclame « mea culpa ! » frappant sa poitrine non existante face au Dieu – un de ces youtres qu’elle déteste ! –, qui, crucifié sur un poteau métallique, perd, de perplexité, son latin http://belgiqueetchretiente.hautetfort.com/archive/2009/04/17/soutien-a-benoit-xvi.html

 

En effet, la messe intégriste pour Millet, c’est sa façon à elle de défendre ses avantages acquis : « pas laisser des youtres écrire sur Claudel ! Barrez aux youtres l’accès à l’Université française !», c’est la manière de Millet d’être Cégétiste.

Mais surtout il faut être bien noté par ses supérieurs : la carrière d’abord ! Le Christ latinophone n’est pas plus qu’un hobby dominical de Dominique, un aiguillon pour l’orgueil chez Millet gigantesque jusqu’au ridicule.

 

Et puis, la pauvre est stérile et complètement soumise, telle une adolescente attardée incapable de devenir mère, à mon petit Pierre Brunel. Cette larbin lui obéit au doigt et à l’œil. Et comme mon Pierrot a un tic à la paupière dû à la sénilité – ô combien il faut être rapide !

 

Un autre fait important : Dominique Millet-Gérard, professeur à Paris IV-Sorbonne, est une catholique intégriste partiellement russophone car licenciée de l’INALCO. Elle fait semblant de parler russe et revient constamment en Russie parce que le terme « yourte » y est à peine blâmable et où notre professeur à Paris IV rencontre « ses amis », ceux qui ont commencé à faire carrière dans la littérature française à l'époque soviétique et qui avaient donc droit de sortir en Occident à l’époque du Rideau de fer et par conséquent avoir contact avec les étrangers... Ce sont donc les mains des agents-informateurs du KGB que serre chaleureusement notre professeur à Paris IV – Sorbonne Dominique Millet-Gérard –  immature, fébrile par couardise couverte d’une épaisse couche d’orgueil professorale –, ces mains ensanglantées jusqu’aux épaules !

 

Le hic est qu’au début, Millet ne savait pas que Livry était le nom francisé d’un « youtre » ! A l’époque Millet avait devant les yeux seulement l’article de Livry édité par « Guillaume Budé » en 2003 (2) et flanqué d’une épigraphe de Maurras. Estimant donc qu’il s’agit d’un frère-Aryen – youtrophobe comme il se doit ! – Millet a donc introduit chez « Guillaume Budé », dont elle est membre de la rédaction, mais aussi dans la société Paul Claudel, la nouvelle thèse de Livry sur Tête d'Or mythriaciste-Empereur Julien l'Apostat http://www.paul-claudel.net/bulletin/bulletin-de-la-societe-paul-claudel-n%C2%B0193

 

Soudain, en novembre 2009, Millet découvre que Livry est juif !!!

Sur-le-champ, elle lui annonce qu’elle ne peut plus diriger sa thèse – bien qu’il y a à peine un mois de ça, elle lui ait rempli tous les documents administratifs nécessaires à la poursuite de ses recherches à la Sorbonne –, rajoutant que les travaux de Livry sur Claudel sont nuls, ces mêmes travaux qu'elle avait auparavant poussés pour publication chez « Guillaume Budé » !!!

 

La suite ne se fait pas attendre longtemps. Millet va en Russie et annonce à ses « ami<e>s » :

« Livry est un youtre qui veut faire des recherches sur Claudel ! ».

 

Dès lors, Livry est « cassé » auprès de la Société Paul Claudel laquelle, il y a quelques mois encore avait admis et répertorié ses thèses sur Tête d’Or – mithraiciste soudain devenues « non-intéressantes ».

 

Le « youtre » Livry serait donc inacceptable dans cette PMU familiale catholique mais pas pour autant non-lucrative !? La caque claudélienne sentirait-elle toujours le hareng youtrophobe !!? Puisque, le samedi 6 juillet 1940, son excellence l’ambassadeur Paul Claudel saluait chaleureusement le sanguinaire régime de Vichy dans les termes que voici, énumérant les points à son « actif » dont le premier selon notre digne académicien serait le suivant :

« La France est délivrée après 60 ans du joug du parti radical et anticatholique (professeurs, avocats, juifs, francs-maçons). » cf. Paul Claudel, Journal, Gallimard, Bibliothèque de la Pléiade, Paris, 1969, t. 2, p. 321.

 

Or, nous posons ces questions légitimes à la caque claudélienne : un enseignant universitaire français « youtre Livry » – maintenant officiellement reconnu comme tel – peut-il publier sur Claudel ? Ou à la Société Paul Claudel on est toujours avec Philippe Pétain dont l’œuvre civique a trouvé son héritière sorbonnargue, le professeur Dominique Millet-Gérard ?! Souhaite-t-on délivrer les études claudéliennes et la Sorbonne du joug du « youtre Livry », soudain inacceptable car enfin reconnu comme tel !?!

 

Car cette information précieuse sur la « youtrerie de Livry » aussitôt ouïe par les amis, ex-agents-informateurs du KGB, de Millet a fait le tour du monde, devenant, par ce fait, une thèse de la Sorbonne elle-même :

 

Livry est un youtre qui veut faire des recherches sur Claudel !

 

 

Et la « Sorbonne », alors déjà fort versée dans les affaires juives à cause de Buhks, devient supra-connue aussi grâce à Millet.

 

Or, ce « youtre Livry », il faut le « casser » officiellement pour protéger les siens! Alors Millet et Pierrot Brunel, ce « vieux macaque excitable » selon Buhks, courent porter plainte contre Livry, plainte sur la base de mails anonymes ( ! ) fabriqués par Buhks elle-même et depuis longtemps recueillis par un autre « vieux schnoque » de Paris IV constamment excité par Buhks, Jobert. Avant cela, Buhks avait poussé l’ex-femme de Livry à porter plainte contre lui à Bâle, ce qui s’est soldé par le suicide du procureur suisse  http://www.russianlife.nl/analitika/bazel2.pdf

 

 

Car Buhks a de l’expérience pour manipuler la Police à travers des macaques repus de paranoïa et de l’orgueil !!!!! C’est même son unique métier depuis qu’elle ne peut plus exercer celui de sa jeunesse.

 

Mais voici le scoop ! :

Buhks, notre professeur slaviste à Paris IV-Sorbonne, est… une alcoolique et une boulimique. Depuis des décennies elle essaye de se faire opérer l’estomac, mais n’ose pas ! Peur de crever sous le bistouri !

Il suffit de faire avaler un verre d’alcool à Buhks pour qu’elle ne s’arrête plus et vous déballe des informations compromettantes sur les siens, informations privées et professionnelles que vous pourrez utiliser pendant des années, avec profit.

Or, s’étant procuré une partie du dossier chez le « vieux schnoque excitable » Jobert, Buhks s’est saoulée chez elle et a annoncé à son gigolo du moment son insatisfaction quant à ses services et son renvoi prochain en faveur d'un concurrent pourvu de meilleurs dons. L'ayant enivrée sans peine, le gigolo de Buhks s'est saisi du dossier Livry de la Sorbonne et l'a transmis à des journalistes. Ce dossier confidentiel de la Présidence est actuellement en libre circulation ! Il peut vous être envoyé aussi, cher Monsieur Pommier !!! C’est un chef-d’œuvre que les sociologues et les écrivains comiques doivent étudier scrupuleusement !

Ainsi se termine la deuxième partie de cette Affaire Livry.

 

Et voici le comble de la drôlitude, la troisième partie de l’Affaire Livry ! Car pendant que nos macaques s’excitaient à Paris-Sorbonne,     Livry, suite à l’invitation du professeur slaviste René Guerra, devient enseignant à l’Université de Nice – Sophia Antipolis où il enseigne à ses étudiants et doctorants… sa propre vie

http://annuaire.unice.fr/index.php?pname=Livry&base=ou%3Dpersonnel%2Cou%3Dpeople%2Cdc%3Dunice%2Cdc%3Dfr&action=list_persons&mode=standard&look=portail

 

L’Affaire Livry entre dans les grands médias russes et l’équivalent moscovite du FIGARO, la « Nezavissimaia Gazeta » au tirage quotidien de 1,5 millions d’exemplaires, consacre ses pages à Livry depuis 2009. Cette attention porté à Livry est intensifiée par la publication à Saint-Pétersbourg de sa thèse de doctorat soutenue en Europe, cette thèse que Livry n’a pas pu soutenir ni avec l’enragée Buhks, ni avec la youtrephobe Millet. Tout cela est porté par des grands médias, et vous pouvez remarquer sur la photo que derrière Livry se trouve l’exemplaire de « Guillaume Budé » 2008 – 2, là où Millet avait poussé la thèse de Livry sur Tête d’Or :

http://exlibris.ng.ru/fakty/2009-04-30/3_hlad.html

 

En ce qui concerne son enseignement, Livry, en bon hébreux, a commencé par la fin ! Ce sont donc les années 2009-2010 de sa vie qui sont enseignées ex cathedra dans l'Université française et entrent dans les thèses de doctorat et donc les monographies de sociologie, de lettres, d’histoire...

Il paraît même que la phrase de Millet, «Livry est un youtre qui veut faire des recherches sur Claudel !» est devenue l’épigraphe d’un ouvrage de sociologie publié au Canada, car Livry ne se contente pas de présenter ses ouvrages sur la Côte d’Azur ! Il parcourt aussi, en tant qu’universitaire français et écrivain lauréat de prix internationaux, le monde entier, racontant et analysant devant les universitaires, en détails, sa vie

  

http://www.nietzsche-gesellschaft.de/assets/downloads/Tagungen/Programm2010.pdf?PHPSESSID=n0c19k3snu29i8vthi3icrkna1

 

Que font nos dignes et sages protagonistes de Paris IV ? Comme des chiens de Pavlov, ils secrètent d'une façon réflectorisée leurs actes des années précédentes : dès qu’ils entendent « Livry », ils le calomnient et surtout envoient « leurs amis » pour le faire. « Amis » de Millet, faites quand même gaffe où elle et son mec-collègue vous embarquent !!!

 

Ainsi, le président de Nice-Sophia Antipolis reçoit toujours le même type d’immondices issues de la « Sorbonne » sur Livry ; il les envoie au doyen de lettres qui les transmet à Livry lequel introduit, sur-le-champ, cette information dans ses cours universitaires et dans ses conférences internationales.

 

Ainsi, la psychotique Buhks unit, avec un insuccès proverbial, ses efforts à ceux de Dominique Millet-Gérard, une intégriste antisémite, qui, en plusieurs décennies, n'a jamais eu un seul étudiant youtre en maîtrise ou en troisième cycle – la sélection youtrephobe se fait naturellement ! –, et ses cours sont fréquentés par des prêtres intégristes, des bigotes estropiées, des boule-de-suifs catholiques ou des mulâtresses en quête de blancheur.

 

Toute cette folie institutionnelle sorbonnicole, Cher Monsieur Pommier, il faut la chaperonner ! N’est-ce pas ?! Mais mon petit Pierrot Brunel n’en est plus capable mentalement. Car il a tant d’autres occupations. On le voit souvent parcourir le Ve et le VIe arrondissements, l'expression de sa face étant fort reconnaissable. C’est un masque charnel inoubliable : on dirait que mon petit Pierre Brunel a été forcé, par une puissance ennemie, à déguster un étron, mais que, finalement, au fond de son gosier, il l'a trouvé bon ! Savez-vous ce qu’il fait réellement à déambuler tel un mort-vivant sur la rive gauche de la Seine ?

 

Je vais vous le dire ! Mon petit Pierrot, tel un chacal affamé qui n’a jamais goûté que de la charogne, tourne autour des loups dans l’espoir bestial que ceux-là lui laissent de la viande fraîche.

Que nenni !

C’est autour de la Coupole du 23 quai Conti que tourne mon petit Pierre Brunel, vomissant son fiel d’envie sur toutes les personnalités douées, jeunes ou âgées ! Jean-Robert Pitte, un vrai scientifiaue, est justement sa première victime.

Cela lui fait tellement mal, à Pierrot ! Notre CANCRE!

Il sait qu'il lui reste quelques mois à peine et mon pauv'Pierrot ebtrera en histoire comme calomniateur d'un homme de lettres, Anatoly Livry!

Or le pauvre fabrique, à compte de son ex-université, les brochures avec des feuilles très épaises! Le Pierrot espère que ses dernières brochures lui surviveront!

Vaine espérance, macaque !

 

 

         Voilà, Cher Monsieur Pommier, mon exposé en trois parties. En bon élève sorbonnicole et malgré ma sainteté, je ferai la conclusion de l'Affaire Livry, laquelle est également votre affaire, car naguère vous avez exprimé quelques doutes quant à la capacité du Président de la Sorbonne à manier la langue française. Mais pardonnez-lui puisque notre Georges doit couvrir toute cette frénésie furieuse depuis 2003 ! Quelle énergie lui faut-il pour faire semblant, en bon apparatchik, que tout se passe pour le mieux à Paris IV-Sorbonne et qu’aucun des professeuses n’est une psychotique susceptible d’être internée sur décision préfectorale. Derrière notre Rideau de fer de la place de la Sorbonne, il ne se passe rien. On est la dignité même !

 

En revanche, vous imaginez ?! Si, au lieu d'une seule Affaire Livry, notre Georges était amené à en couvrir une dizaine ou une vingtaine, ce qui est probablement le cas dans notre Sorbonne ? Cependant quelle excitation administrative ! Avec quelle puissance il est attiré par le feu de l’action !

Alors, comment trouver le temps de relire les épreuves que vous envoie l’éditeur ?!

 

Quel est le but de notre écrit ? Il est double. Brisons la trinité sorbonnicole !

 

Nous voulions que, de nouveau, comme des chiens de Pavlov, la présidence de Paris IV s'attaque à Livry. Ainsi, on aura le plaisir d'un procès public et international et Livry, arrêté par la Police à la sortie de ses cours à Nice-Sophia Antipolis, sera enfin, pour le bien de la Sorbonne, de l'Université et de la Science française, condamné ! Quel bonheur ! C’est pour cela aussi que j’envoie ce courriel du Ciel, à vous cher Monsieur Pommier, mais également à tous les journalistes, professeurs, politiciens, académiciens, écrivains, procureurs… du monde francophone et aux protagonistes sorbonnicoles mentionnés ci-dessus. Car, et nous le savons parfaitement, vous, Cyrano et moi, il n’y a aucun plaisir de dire à propos de bélitres titrés que ce sont de bélitres titrés si ces mêmes bélitres ne sont pas mis au courant de cette baffe laquelle, dès lors, devient publique ! Elle se perpétue même tant que son écho retentit. Et l’écho de notre gifle résonnera durant des années ! Je gage ma sainteté, cher Monsieur Pommier !

 

Ensuite, c’est une affaire de bon sens, donc de quelque chose tout à fait étranger à la Présidence de Paris IV. Il suffit que ladite Présidence annonce, sous l’une ou l’autre forme, que, comme le dit Livry dans sa dernière interview, il y a huit (8 !) ans, on a titularisé par mégarde une psychotique qui est devenue professeuse en slavistique, Nora Buhks, et que celle-ci a commis des actes de folie furieuse en utilisant le nom de Paris IV – Sorbonne pour que cette même Buhks ne puisse plus exciter les « vieux schnoques » de la Présidence.

 

L’Affaire Livry se terminerait ainsi par elle-même http://www.les4verites.com/Les-Sovietiques-de-Paris-IV-Sorbonne-et-la-Soah-3174.html

 

Il se pourrait qu’alors le Georges Molinié trouve une heure par jour pour corriger ses futurs livres ?...

 

 

 

 

p.s. Senateurs ! Présidentiables ! agissez face à la CORRUPTION UNIVERSITAIRE! intervenez dans l'AFFAIRE LIVRY! BLOQUEZ LA MAFIA DES PSYCHOPATHES ORDURIERS !

http://www.enquete-debat.fr/archives/arretez-de-subventionner-la-mafia-universitaire

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